On t’accompagne vers le métier de chauffeur de bus et d’autocar ! 


Ils en parlent !

 

Le parcours d’Yves Museur, de militaire à chauffeur d’autocar. C'est une séance d'information de BEchauffeur.BE lors d'un évènement organisé en collaboration avec le Forem à Étaimpuis qui a inspiré Yves Museur à se reconvertir en chauffeur d'autocar après son départ à la retraite. Yves Museur y a également fait la connaissance d'une entreprise d'autocars, où il exerce à présent sous contrat flexi-job. « Si je l'avais su plus tôt, j'aurais pris place au volant d’un autocar bien avant. »

 

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Grâce à BEchauffeur.be, Sara Vanderlinden a trouvé un service de transport scolaire dans sa région. Sara (36 ans), de Boutersem, a travaillé comme chauffeur chez De Lijn dès l’âge de 21 ans, jusqu’à ce qu’elle décide de se réorienter et d’aller travailler dans un hôpital. Mais sa vocation était bien de conduire un autobus. « Depuis septembre, je suis à nouveau active dans le transport scolaire. C’est ce que je préfère. J’aime conduire tous ces enfants à destination et j’ai beaucoup de temps libre entre les services. Je suis très heureuse. »

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C'est dans le cadre d’une session d'information de BEchauffeur.be que Françoise Seulet a pris une décision importante, celle de devenir chauffeur d'autobus. Après avoir pu y établir de bons contacts avec des exploitants d'autobus, Françoise Seulet a quitté son poste dans la grande distribution. Poser un tel choix ne fut pas évident pour cette quadragénaire, mais après quasiment deux années passées au volant d'un autobus, Françoise reste particulièrement enthousiaste à propos de cette reconversion. 
« Pourquoi n'ai-je pas choisi plus tôt de devenir conductrice de bus ? »

 

 

Alijaj Qendrim, qui a suivi une formation pour devenir chauffeur de bus dans une entreprise de bus privée en Flandre, est entre-temps déjà devenu responsable adjoint d’entrepôt à Vilvorde.

 

« Je n’aurais jamais cru que cela irait si vite », dit-il.

Baris Serbet, 26 ans, qui connaissait le secteur des autobus depuis bien plus longtemps. « Mon père est chauffeur De Lijn depuis quinze ans. Enfant, je possédais une carte Mobib gratuite et j’accompagnais donc souvent mon père lors de ses trajets le week-end ou pendant les vacances. Le salaire et la liberté de ce métier me tentaient, mais j’ai quand même d’abord effectué quelques autres jobs. J’ai finalement tenté ma chance dans une entreprise de bus privée pour une fonction administrative dans le transport en camion-citerne. Alors que je travaillais là, on m’a proposé de participer à une formation ». Tout est ensuite allé très vite pour Baris qui, après quelques mois comme chauffeur d’autobus, se voyait déjà offrir le poste de responsable d’entrepôt.